samedi 12 mai 2012
Compte rendu CFDT conseil de surveillance FCPE (12/04/2012)
Diffusion aux adhérents CFDT du compte rendu de la réunion du Conseil de surveillance des FCPE Groupama.
jeudi 10 mai 2012
CDS groupe "formation" (20/04/2012)
Diffusion aux adhérents CFDT de la présentation et du compte rendu de la commission de Dialogue Social formation professionnelle Groupama / Gan du 20 avril 2012.
mercredi 9 mai 2012
Répondre sans attendre aux difficultés des salariés
En élisant François Hollande hier, les électeurs ont choisi pour président le candidat qui dans la campagne a eu un discours fort sur la nécessité de rassembler les Français, quelles que soient leurs origines sociales et culturelles.
C’est également le candidat qui a annoncé clairement sa volonté de placer le dialogue avec les partenaires sociaux, notamment les organisations syndicales, comme une des priorités dans sa méthode de travail. La CFDT souhaite s’inscrire dans cette démarche.
La CFDT demande donc qu’une première rencontre entre le nouvel exécutif et les partenaires sociaux soit organisée avant la tenue des élections législatives afin de décider des méthodes de travail qui permettront d’apporter au cours du quinquennat des réponses aux préoccupations des salariés sur l’emploi (notamment l’emploi des jeunes) et le pouvoir d’achat (entre-autres sur le logement et l’énergie).
Une grande partie des difficultés auxquelles notre pays est confronté doivent trouver solution au niveau européen. Les résultats des élections de ce dimanche en Grèce montrent combien l’action européenne est déterminante. C’est pourquoi la France se doit d’obtenir des mesures de relance, au-delà des mesures de maîtrise des dépenses publiques déjà en œuvre.
Comme elle l’a fait pendant la présidentielle, la CFDT interpellera les candidats aux élections législatives. Son interpellation s’articulera autour de trois axes forts :
· Défendre la cohésion sociale, réduire les inégalités
· Inventer un nouveau mode de développement
· Construire un pacte social
samedi 5 mai 2012
Harcèlement sexuel, combler le vide juridique au plus vite
Après la mise en cause par un prévenu de la loi qui permet de sanctionner pénalement le harcèlement sexuel, le Conseil constitutionnel a décidé, ce vendredi 4 mai, d’abroger l’article l. 222. 33 du code pénal.
Cette décision crée un vide juridique préoccupant pour les victimes. Il est indispensable d’engager au plus vite un processus d’élaboration d’une norme pour combler ce vide.
Les conséquences de cette situation doivent être tirées pour l’élaboration des nouvelles dispositions : la nouvelle définition du délit doit être suffisamment précise pour permettre une parfaite répression de celui-ci et déclencher une véritable prévention ainsi qu’une réelle prise en charge des victimes.
Pour la CFDT, le législateur se doit d’intervenir dans les meilleurs délais sur un sujet où il y a trop souvent une tendance culturelle à minimiser la gravité des faits et leur impact sur les victimes.
Ces atteintes à la dignité s’exercent aussi sur le lieu de travail. En France, 25 % des faits de harcèlement sexuel y sont commis.
Cette décision crée un vide juridique préoccupant pour les victimes. Il est indispensable d’engager au plus vite un processus d’élaboration d’une norme pour combler ce vide.
Les conséquences de cette situation doivent être tirées pour l’élaboration des nouvelles dispositions : la nouvelle définition du délit doit être suffisamment précise pour permettre une parfaite répression de celui-ci et déclencher une véritable prévention ainsi qu’une réelle prise en charge des victimes.
Pour la CFDT, le législateur se doit d’intervenir dans les meilleurs délais sur un sujet où il y a trop souvent une tendance culturelle à minimiser la gravité des faits et leur impact sur les victimes.
Ces atteintes à la dignité s’exercent aussi sur le lieu de travail. En France, 25 % des faits de harcèlement sexuel y sont commis.
jeudi 3 mai 2012
mercredi 2 mai 2012
Le changement c’est maintenant ?
Après la parution semaine 17 du document de référence 2011 qui confirme page 58 et suivante l'encaissement par Jean Azéma de la somme de 4,383 millions d'euros en 2011 (alors qu'en même temps le groupe a affiché une perte de 1,76 milliard d'euros...), nous avons jugé bon reproduire ici l'édito paru en mars dernier dans la revue national CFDT Groupama "Ca se passe chez nous". Les lecteurs qui souhaitent recevoir la version pdf de cette revue peuvent nous en faire la demande en cliquant ici.
Le changement c’est maintenant ?
C’est en substance ce qu’a déclaré Thierry Martel lors de sa conférence de presse du 15 mars au cours de laquelle le DG de Groupama a présenté les comptes 2011. Le changement, c’est un retour aux fondamentaux, la (re) découverte que Groupama est un assureur mutualiste, la révélation que le Groupe doit, dixit le Directeur Général, « être une entreprise d’assurance proche de ses sociétaires et de ses clients, proposant le meilleur service, avec une gouvernance claire et transparente ».
La gouvernance… Ils étaient où messieurs Martel et Collin sous l’ère Azema ? Travaillaient-ils dans une autre société ? Etaient-ils entrés en clandestinité ? Non, ils étaient respectivement Directeur Général Assurance et Banque et Directeur Général finance et risques à… Groupama. Pourquoi n’on-t-ils rien dit ? Jean Azéma que le très sérieux journal Le Monde qualifiait en 2001 « d’assureur humaniste », était-il en fait un disciple de feu Kim Il Sung, un despote tyrannique qui faisait régner la loi du silence ? Vous nous permettrez d’en douter. Alors pourquoi ne pas avoir rappelé au DG de l’époque qu’il prenait trop de risques, qu’il fallait revenir aux fondamentaux, arrêter une croissance externe coûteuse, diversifier le portefeuille d’actions ?...
La gouvernance c’est aussi un Conseil d’Administration qui avait « lâché les rênes » en octroyant les pleins pouvoirs à un seul homme. Depuis que le groupe ambitionnait de rentrer dans le top 10 de l’assurance européenne, de très nombreux dossiers d’acquisitions, de partenariats ou de développement avaient été présentés au Conseil d’Administration. Pour l’ensemble de ces dossiers, le Conseil d’Administration avait donné son accord, à l’unanimité, à la Direction Générale du Groupe, pour réaliser ces opérations.
C’est ce conseil d’administration qui avait accordé la délégation de pouvoir au Directeur Général, une délégation de pouvoir qui est passée de 15M€ à 100M€, pour engager des opérations d’acquisition ou de cession d’entreprises. C’est enfin ce même Conseil d’Administration qui se félicitait de la façon dont les objectifs étaient fixés et donnait satisfecit au DG pour son excellente gestion. Ce même Conseil d’Administration qui, en octobre dernier, écartait le bouc émissaire AZEMA pour le remplacer par deux piliers du Groupe, dont l’un au moins était très proche du DG destitué.
Aujourd’hui, en application de la «jurisprudence » Dufoix, « responsable mais pas coupable », c’est toujours le même Conseil d’Administration avec à sa tête le même Président qui dirige le Groupe. Mais peut-être que dans une mutuelle ce n’est pas le Conseil d’Administration qui est censé gouverner ?
mardi 1 mai 2012
J'ai le parachute... chut ! doré
Adieu mégaphones, adieu calicots
Adieu représentants syndicaux
A moi le soleil et le calypso
La nana, la noix de coco
La boîte a (presque) coulé, mais pouce
On va se la couler douce
La pilule, on va… se la dorer
J'ai le parachute... chut ! doré
Comme nous l'avions indiqué précédemment, Jean Azéma, ancien directeur général de Groupama révoqué en octobre dernier, a quitté le groupe avec des indemnités d'environ 3 millions d'euros (voir document de référence)
Adieu représentants syndicaux
A moi le soleil et le calypso
La nana, la noix de coco
La boîte a (presque) coulé, mais pouce
On va se la couler douce
La pilule, on va… se la dorer
J'ai le parachute... chut ! doré
Comme nous l'avions indiqué précédemment, Jean Azéma, ancien directeur général de Groupama révoqué en octobre dernier, a quitté le groupe avec des indemnités d'environ 3 millions d'euros (voir document de référence)
Selon ce document, Jean Azéma a perçu 1,469 million au titre d'indemnités de rupture de contrat et le même montant au titre d'une indemnité à 893.333 euros et sa rémunération variable à 409.240 euros (au titre de 2010). Et il a reçu 142.239 euros d'avantages en nature (couverture prévoyance, soins médicaux, véhicule de fonction).
Au total, Jean Azéma a encaissé 4,383 millions d'euros en 2011 (contre 1,544 million l'année précédente).
En mars dernier, le groupe a annoncé une lourde perte de 1,76 milliard d'euros pour 2011 (lestée par 3 milliards de dépréciations liées à d'importantes expositions à la Grèce et aux marchés d'actions)...
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