vendredi 28 mars 2014

Coucou me revoilou !

C'est le titre d'un album de Michel Polnareff (1978)... C'est aussi le commentaire que nous inspire la lecture d'un article des Echos du 28/03 dans lequel nous apprenons que Jean AZEMA vient d'être nommé, par le Groupe Wendel , administrateur de la division assurances de Saham...
http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches/actu/0203402382663-wendel-tourne-la-page-des-annees-de-turbulences-660355.php

jeudi 27 mars 2014

"Ce n'est pas au moment où les chômeurs sont les plus en difficulté qu'il faut baisser leurs droits,"

"Ce n'est pas au moment où les chômeurs sont les plus en difficulté qu'il faut baisser leurs droits," a rappelé Laurent Berger sur RTL ce matin.
L'accord assurance chômage signé ce lundi par la CFDT reflète cette volonté: "Le nombre de seniors au chômage augmente: nous avons pris une une mesure pour que les entreprises arrêtent de se défausser sur l'assurance chômage en mettant dehors leurs seniors."


Laurent Berger : "La situation de l'emploi est... par rtl-fr

mardi 25 mars 2014

CNN (25/03/2014)

Diffusion aux adhérents CFDT du compte rendu de la (courte) réunion de négociation Accord National Groupama du 25/03/014.

Prime d’intéressement 2013

Diffusion aux adhérents CFDT d'un décryptage sur le montant de l’intéressement 2013.


lundi 24 mars 2014

Comité de Groupe (19/03/2014)

Diffusion aux adhérents CFDT du compte rendu du Comité de Groupe du 19/03/2014

dimanche 23 mars 2014

C'est prouvé, être heureux au travail améliore la productivité

Plus un employé est heureux, plus il est efficace dans son travail. Ce n'est pas une surprise, mais c'est ce que démontre une nouvelle étude menée par le département d’économie de l'Université de Warwick, au Royaume-Uni. En réalisant un certain nombre d'expériences, dont les résultats vont être publiés dans le Journal of Labor Economics, l'équipe de chercheur a déterminé que le fait d'être heureux augmentait la productivité de près de 12%.

En tout, ce sont 700 participants, divisés en plusieurs groupes, qui se sont prêtés au jeu de différentes expériences. Alors que l'un des groupes s'est vu offrir du chocolat et des fruits, un autre a pu regarder un clip comique. D'autres participants ont été amenés à se confier sur les événements tragiques qui les avaient récemment affectés (disputes familiales, deuil...), et de déterminer si cela avait eu un impact sur leurs niveaux de productivité au travail.
Les sujets ont ensuite été soumis à des tests chronométrés de mathématiques. Résultat: dans l'ensemble de l'échantillon, ceux qui avaient pu manger du chocolat ou qui avaient regardé le clip comique ont enregistré la performance la plus rapide et environ 10 à 12% de meilleures réponses que les autres. L'étude a également révélé l'effet inverse: les sujets qui avaient de bonnes raisons de se sentir malheureux ont moins bien réussi le test.

Travailler mieux et plus vite

"Des entreprises comme Google investissent davantage dans le soutien des employés, et le résultat, c'est que ces derniers étaient globalement satisfaits", explique Andrew Oswald, l'un des directeurs de recherche. "Pour Google, cette satisfaction a grimpé de 37%, ils savent très bien ce qui est en jeu. Dans des conditions contrôlées scientifiquement, rendre les salariés plus heureux est vraiment rentable."

"La dynamique semble être la suivante : les employés font un meilleur usage du temps dont ils disposent, c'est-à-dire en augmentant la vitesse à laquelle ils peuvent travailler sans sacrifier la qualité", ajoute son collègue Daniel Sgroi.

Quel impact concret de ces conclusions en entreprise? Selon les auteurs de l'étude, la question avait été anticipée. Ils expliquent ainsi que l'expérience du chocolat et des fruits a été réalisée car ce sont des petites récompenses qui sont faciles à reproduire dans le monde réel.

http://www.huffingtonpost.fr/

vendredi 21 mars 2014

Elections à Groupama Grand Est

Nous venons de recevoir les résultats des élections CE à Groupama Grand Est, collège "employés", collège "cadres"; titulaires et suppléants.

Avec un score de 41.04 %, la CFDT (qui gagne plus de 6 points par rapport au dernier scrutin) devient la première organisation syndicale à GGE !




Félicitations à l'ensemble des militant(e)s CFDT de Groupama Grand Est qui ont fait un travail énorme !

jeudi 20 mars 2014

La Formation à la CFDT : former pour changer

La formation est au cœur de l'action de la CFDT, de ses origines en 1919 jusqu'à nos jours. La formation syndicale permet de changer la société. Ce film retrace son histoire et en rappelle ses fondement toujours aussi pertinents aujourd'hui.


Le Benchmark n'est pas en soi une atteinte à la santé des salariés

Selon la Cour d’appel de Lyon, le « benchmark »  n’est pas, en lui-même, créateur d’une souffrance au travail. Aussi, il ne doit pas faire l’objet d’une interdiction générale. C’est l’application qui en est faite par l’entreprise qui peut éventuellement compromettre la santé et la sécurité des salariés et qui doit alors être condamnée. Cour d’appel de Lyon, 21.02.14, n° 12/06988.

 Le « benchmark » est un mode d’organisation de travail basé sur la performance. Ce système permet à l’employeur d’évaluer les salariés en les mettant en concurrence.  

Un  jugement du TGI de Lyon avait fait grand bruit en sommant une entreprise d’un secteur bancaire de mettre fin à son organisation du travail fondée sur le « benchmark ». En effet, ce système avait été jugé compromettant pour la santé et la sécurité des salariés, en évaluant continuellement la performance des commerciaux par une comparaison permanente entre leurs résultats. Ce  jugement avait été analysé comme la fin du « Benchmark ».

LE «BENCHMARK» EST-IL CONDAMNABLE EN SOI ?

Quelques années plus tard, la Cour d’appel a dû répondre à la question suivante: le « benchmark » est-il condamnable en soi?

Dans son arrêt du 21 février 2014, la Cour d’appel infirme le jugement du TGI en décidant que « la mise en place de l’outil de pilotage « benchmark » basé sur la performance n’est pas, en lui-même, créateur d’une souffrance collective au travail ». C’est l’application qui en est faite dans l’entreprise qui peut éventuellement compromettre la santé et la sécurité des salariés et qui doit alors être condamnées.

Aussi, la Cour d’appel reconnait qu’entre fin 2007 et 2012, l’application de ce mode d’organisation dans l’entreprise « a causé  une souffrance collective réelle aux salariés (…) l’employeur, dans l’exercice de ses fonctions a pris des mesures et de gestion et d’organisation du travail qui ont compromis la santé et la sécurité des salariés». La Cour condamne l’entreprise à des dommages et intérêts pour cette période.

En revanche, à compter de 2013, la Cour d’appel reconnait que l’employeur a apporté des correctifs nécessaires à l’outil de pilotage «benchmark ». Par exemple, les salariés n’ont plus accès aux résultats de leurs collègues, ils ne sont plus comparés avec le meilleur des collègues, mais par rapport à une médiane, le calcul de la rémunération variable est modifié et des formations sont mises en place au niveau des commerciaux et des managers. Aussi, la Cour d’appel a décidé que l’employeur était autorisé à en poursuivre la mise en œuvre dans ces nouvelles conditions.  

Pour la Cour d’appel, le benchmark ne doit donc pas  faire l’objet d’une  interdiction générale. Tout va dépendre de la mise en place de cet outil. La Cour d'appel donne, à travers cet arrêt, quelques conditions nécessaires pour que le  benchmark puisse être appliqué de manière à préserver les salariés de troubles psychosociaux (voir ci-dessus). A contrario, sans ces conditions, l’application du benchmark serait condamnée.

 A noter : A notre connaissance, aucun pourvoi en Cassation n'est encore déposé. 

samedi 15 mars 2014

Pacte de responsabilité : la CFDT signe le relevé de conclusions

 Le Bureau national de la CFDT a voté à l’unanimité la signature du relevé de conclusions du pacte de responsabilité.
De longues heures de discussion sur le pacte de responsabilité auront été nécessaires pour aboutir à un relevé de conclusions. La CFDT estime avoir obtenu la réponse à ses attentes.


La deuxième réunion des partenaires sociaux sur le pacte de responsabilité, le 5 mars, a abouti à un relevé de conclusions. CFDT, CFTC et CFE-CGC ont donné un avis favorable, renvoyant la décision de signer le document à leurs instances (le Bureau national des 12 et 13 mars pour la CFDT). « La CFDT est restée intransigeante sur ses objectifs d’obtenir des engagements chiffrés, des engagements sur l’emploi, des engagements sur l’investissement et surtout des engagements contractualisés dans les branches », a indiqué la secrétaire générale adjointe de la CFDT, Véronique Descacq, estimant avoir atteint les objectifs du mandat de la délégation CFDT*.

Point d’équilibre

Il aura fallu de longues heures de discussion aux partenaires sociaux pour trouver le point d’équilibre entre les trois organisations patronales et les trois organisations syndicales prêtes à prendre le pari du pacte de responsabilité. « Cela a été compliqué entre les organisations patronales, cela a été compliqué entre organisations syndicales », a admis le négociateur du Medef, Jean-François Pilliard.

Le patronat, CGPME en tête, refusait tout engagement chiffré en contrepartie du pacte. « Un relevé de conclusions au niveau national interprofessionnel a pour objet de poser un cadre, une méthode de travail, une incitation à discuter au niveau des branches et des entreprises, pas à fixer d’engagements chiffrés », a poursuivi Jean-François Pilliard.

Objectifs quantitatifs et qualitatifs par branche

Au final, le relevé de conclusions prévoit, « dès lors que la trajectoire de baisse des prélèvements sociaux et fiscaux sera précisément définie par les pouvoirs publics », que les branches professionnelles mèneront « des discussions aboutissant à un relevé de conclusions signé ou des négociations en vue d’aboutir à un accord » pour définir « des objectifs quantitatifs et qualitatifs ». Ceux-ci porteront sur l’emploi (recrutement, création, maintien) avec une attention particulière portée aux jeunes et aux seniors. Ils concerneront aussi la montée en compétences et en qualification des salariés, que les branches prendront en compte dans leurs négociations sur les classifications.

Dans les entreprises de plus de 50 salariés, la consultation du comité d’entreprise sur les orientations stratégiques inclura le pacte de responsabilité. Les entreprises sont par ailleurs invitées à ouvrir des négociations sur la qualité de vie au travail.

Trajectoire conjointe des allègements et des engagements

« Avant la fin 2014, chaque branche définira les critères, les modalités de suivi et d’évaluation des objectifs qu’elle s’est fixés », indique le relevé de conclusion. « La trajectoire des allègements devra être cohérente avec la trajectoire des engagements », s’est félicité la chef de file de la délégation CFDT.

« La CFDT a obtenu ce qu’elle demandait. Il appartient désormais au Bureau national de se prononcer », a indiqué Véronique Descacq. Pour la secrétaire nationale, le relevé de conclusions « n’est qu’un premier pas. Reste tout le travail avec l’État sur le financement de la protection sociale », avant la prochaine date butoir de la conférence sociale.

aseigne@cfdt.fr

vendredi 7 mars 2014

Révolution de palais à Groupama Méditerranée

Diffusion aux adhérents CFDT d'une information concernant la destitution du Directeur Général de Groupama Méditerranée (par ailleurs Président de l'UDSG)...