mercredi 31 juillet 2013

jeudi 25 juillet 2013

Saisonniers, une saison sous le signe de la proximité

Comme chaque année depuis déjà quinze ans, été rime avec campagne Saisonniers pour les militants CFDT qui prennent sur leurs congés afin d’aller à la rencontre des travailleurs saisonniers.




« Avec la crise, nous constatons que de plus en plus de chômeurs et de retraités occupent des emplois saisonniers », explique Thierry Cadart, le secrétaire national chargé du dossier.
Le risque est donc fort de voir apparaître une concurrence entre ces « nouveaux saisonniers » et les jeunes et les étudiants qui, traditionnellement, occupaient ces postes en cette saison. « Dans de telles circonstances, notre rôle de syndicalistes est, plus que jamais, d’apporter des réponses à chacun et d’améliorer les conditions de travail de tous, insiste Thierry. Cela peut et doit prendre des formes différentes selon les situations, en allant de la prévention au soutien en cas de conflit avec l’employeur, en passant par l’information ou la médiation. »

Les trois grandes priorités de la CFDT

Pour cet été, la CFDT s’est fixé trois grandes priorités : lutter contre les dérives dans l’utilisation des contrats saisonniers ; agir en faveur des saisonniers avec eux, notamment en ce qui concerne l’amélioration de leurs conditions de travail ou la valorisation de leurs parcours ; enfin, permettre aux saisonniers de bien vivre leur saison – ce qui passe, entre autres, par le paiement des heures supplémentaires, le respect des temps de repos ou l’accès à un logement décent à un prix acceptable.
Comme l’année dernière, la campagne est décentralisée : « Le bus nous a permis d’obtenir une grande visibilité, ce qui est une excellente chose ; la contrepartie, c’est qu’il focalisait l’attention sur les seules dates et lieux de ses passages », résume Inès Minin, la secrétaire confédérale chargée de la campagne.
D’où la décision, depuis deux ans, de mettre moins l’accent sur la visibilité et plus sur la proximité, de façon à mettre en œuvre des actions plus adaptées aux réalités locales et professionnelles. Ce sera notamment le cas en Poitou-Charentes, où une campagne d’affichage en bulgare est prévue afin d’informer sur leurs droits les nombreux saisonniers bulgares qui travaillent chez les récoltants de melons.

La suite à préparer sans tarder

À l’issue de la campagne 2013, la Confédération, en collaboration avec les fédérations, travaillera à développer un revendicatif sur les points précis et les priorités relevées par les militants durant l’été. En effet, insiste Thierry Cadart, « l’expérience nous montre que c’est souvent à la fin de la saison que les saisonniers reviennent vers nous, notamment lorsqu’ils ne parviennent pas à se faire payer toutes leurs heures ». Bien entendu, une fois la saison terminée, les équipes CFDT prolongeront leurs actions à la rentrée… et prépareront sans tarder la saison d’hiver, parce que « les droits des saisonniers ne doivent jamais prendre de vacances ! ».

vendredi 19 juillet 2013

Revue de presse (19/07/2013)

Succession, propositions, mondialisation, progression et raison...

Diffusion d'une revue de presse aux adhérents CFDT



jeudi 18 juillet 2013

“Pour la CFDT il n'y pas de tabou”

Interrogé par La Gazette de Côte-d'Or le 10 juillet 2013, Laurent Berger a fait le point sur l'ensemble des grands sujets sociaux du moment.


Pourquoi êtes-vous opposé à un passage de 35 à 37 heures dans la fonction publique, ce que préconise la Cour des comptes ?
Le travail de la Cour des comptes, c’est de faire les comptes, pas de décider des politiques à mener. En France, la durée légale du travail est de 35 heures pour tous les salariés. Il n’y a pas de raison qu’elle soit différente pour les seuls fonctionnaires. Ne faisons pas des fonctionnaires les boucs émissaires de la situation financière de notre pays, ils n’en sont pas responsables.


Acceptez-vous l’hypothèse d’une diminution du nombre de fonctionnaires et dans quelles proportions ?
Pour la CFDT, il n’y a pas de tabou. Mais je refuse le dogme qui consiste à dire « réduisons le nombre de fonctionnaires », sans poser la question des missions du service public. C’est mettre la charrue avant les bœufs ! Il faut d’abord réinterroger l’action publique. Qu’est-ce qui doit faire partie de ses missions, et par conséquence, quels sont les moyens nécessaires. L’approche strictement comptable de la Révision générale des politiques publiques de Nicolas Sarkozy a été une catastrophe. De nombreux corps de la fonction publique n’ont plus les moyens d’assurer leurs missions. C’est le cas par exemple de la répression des fraudes, dont les effectifs ne sont plus suffisants. Pourtant, ce sont ces fonctionnaires qui s’occupent de la sécurité alimentaire… Quand un pays ne se donne plus les moyens de contrôle nécessaires, il ne faut pas s’étonner qu’éclate un scandale comme celui des lasagnes à la viande de cheval. Je mets donc en garde le gouvernement : une approche dogmatique et comptable de réduction du nombre de fonctionnaires serait la pire méthode pour réformer l’action publique.


Quelles solutions préconisez-vous pour réduire la dette publique ?
Il faut maîtriser la dette, bien évidemment. Mais la période de crise impose que l’on étale dans le temps les efforts, sinon cela va être dramatique pour la croissance et notre économie risque de rester en panne durablement. Ensuite, il faut définir les missions de l’action publique et les services à rendre aux citoyens avant de décider où les économies doivent se faire. La Conférence sociale du mois de juin a décidé d’enclencher un travail dans ce sens.


Vous militez pour une augmentation de la CSG. Quels sont vos arguments ?
En France, les salariés et les entreprises assument une part importante du financement de la protection sociale. Or la santé et la famille ne devraient pas reposer uniquement sur le travail. Une partie de leur financement pourrait être assurée par la CSG qui repose sur tous les revenus, dont ceux du capital. Le financement des retraites et l’assurance chômage, en revanche, doivent rester principalement financés par le travail.


Quelle est la meilleure réforme à faire pour les retraites ?
Il faut faire une réforme de fond, qu’on appelle aussi réforme systémique. C’est la seule à même de mettre fin aux nombreuses inégalités à l’intérieur des différents régimes de retraites et dont sont victimes les femmes, les salariés qui ont des métiers pénibles, qui ont commencé à travailler jeunes ou ont cotisé dans plusieurs régimes. Le système serait aussi plus simple et plus lisible. Enfin, il devrait être plus harmonisé pour améliorer la situation des personnes qui du fait de leur parcours ont cotisé dans plusieurs régimes. Une reforme systémique est la seule qui puisse redonner confiance dans le système par répartition.


Faut-il aligner, ou au moins rapprocher, le système de calcul des pensions dans le public et le privé ?
Si les modes de calcul des pensions sont différents, les résultats sont proches. La pension moyenne après à une carrière complète dans le privé est d’environ 1 700 euros par mois. C’est très proche de la pension moyenne des fonctions publiques, qui est de 1 670 euros. Le taux de remplacement de la pension par rapport au dernier salaire perçu est quasiment équivalent. Les inégalités sont donc à l’intérieur des régimes. S’il faut rapprocher les systèmes à long terme, cela nécessitera d’inclure les primes des fonctionnaires dans le calcul. Il faut aborder le sujet dans sa globalité.


Quelles sont les orientations à prendre en urgence dans le domaine de la formation ?
Aujourd’hui, il y a des chômeurs et des besoins d’emploi qui ne se rencontrent pas. Le gouvernement a annoncé à la Conférence sociale que 30 000 demandeurs d’emploi de plus bénéficieront d’une formation d’ici la fin de l’année. À côté de cela, le système de la formation professionnelle profite surtout aux salariés les plus qualifiés. Il faut donc réformer la formation professionnelle. Il y a des enjeux, comme l’emploi, et notamment celui des jeunes, la compétitivité de notre économie, la mise en œuvre du compte personnel de formation créé par l’accord Sécurisation de l’emploi… La CFDT veut une réforme qui privilégie ceux qui en ont le plus besoin et oriente la formation professionnelle vers des emplois de qualité et vers les emplois de demain.


Comment mieux lutter contre le chômage des seniors ?
Il faut agir sur la formation, sur les conditions de travail et la gestion des fins de carrière. Et puis, il faut mettre fin à l’hypocrisie des entreprises qui veulent reculer l’âge du départ en retraite et continuent de se séparer des seniors. La CFDT plaide pour la création d’un départ en retraite progressif.


Pensez-vous qu’une inversion de la courbe du chômage soit envisageable ?
Concrètement, une inversion de la courbe du chômage, cela veut dire moins de chômeurs. Oui c’est possible. Nous avons même le devoir de le faire. Est-ce que ce sera dès la fin de l’année ? J’en doute, mais la question essentielle n’est pas là. La vraie question, c’est celle des moyens que nous consacrons à la lutte contre le chômage et à l’accompagnement des demandeurs d’emploi. À la conférence sociale du mois de juin la CFDT a demandé une mobilisation générale en ce sens, avec des coordinations locales de tous les acteurs de l’emploi. Le gouvernement a annoncé des choses en ce sens.  Nous attendons.


Une dégressivité des allocations chômage est-elle envisageable ?
Non, c’est inenvisageable. Notre pays compte cinq millions de chômeurs. Le chômage ne cesse d’augmenter. On ne peut pas envisager une dégressivité des allocations, ce serait injuste vis-à-vis des demandeurs d’emploi. Ils n’ont pas choisi cette situation et n’en sont pas responsables. Il faut les aider à retrouver un travail, pas les punir de ne pas en avoir.


Qu’attendez-vous de Pierre Gattaz, le nouveau président du Medef ?
Le patronat doit assumer pleinement ses responsabilités. La première d’entre elles, c’est de faire vivre le dialogue social. Le patronat doit comprendre que le social est une des composantes de la compétitivité, pas un sous-produit de l’économie.


Comment améliorer le dialogue social ?
Le dialogue social, ce n’est pas la négation des intérêts divergents, mais l’organisation de leur confrontation, afin de faire émerger du concret pour les salariés. Pour la CFDT, le dialogue social est un plus pour les entreprises, comme pour les salariés. La CFDT assume ses positions. Si tous les salariés vont bientôt avoir une complémentaire santé prise en charge à moitié par leur employeur, c’est bien aux signataires de l’accord Sécurisation de l’emploi qu’ils le doivent, et à eux seuls.

Plan canicule: gérer les fortes chaleurs en entreprise

Alerte météorologique et organisation de l’entreprise sont désormais au diapason! Une circulaire de la Direction générale du travail (DGT) du 4 juillet dernier vient préciser les modalités de mise en œuvre du plan canicule dans les entreprises.

Depuis 2004, le Gouvernement a mis en place un « plan national canicule » (PNC) pour répondre aux situations que génèrent les fortes chaleurs. Ce plan a été remanié début 2013 et une récente circulaire vient faire le point sur les grands principes du plan et la législation en vigueur. 

Le PNC a été revisité sur différents aspects

Ce plan se compose désormais d'un « cadrage général » et de « fiches techniques », afin d'avoir une structure similaire à celle des autres plans de santé publique.
Un comité de suivi et d’évaluation du plan (CSEP) est mis en place (assurer l'information, l'organisation des entreprises, relever les expériences et dresser le bilan)
Le plan canicule se met en phase avec les différents niveaux de vigilance météorologique (passe de 3 à 4), ce qui permet une meilleure visibilité. 

Désormais, il existe 4 niveaux d’alertes conformes aux seuils de vigilance des cartes de Météo France.

- Niveau 1 : « Veille saisonnière » - vigilance verte. Il s'agit d'une attention particulière qui se déclenche automatiquement sur la période 1er juin – 31 août.

Les employeurs doivent diffuser une information préventive aux salariés et se conformer à leur obligation de sécurité et de santé prévue dans le Code du travail. Concrètement, ils ont l'obligation de mettre à la disposition des salariés de l’eau potable et fraîche (Art. R.4225-2 du Code du travail), les locaux fermés doivent être aérés pour éviter une élévation exagérée de la température (Art. R.4222-1), des mesures spécifiques de protection contre le soleil et la chaleur doivent être prises à l'attention des salariés travaillant en extérieur ou sur des chantiers, etc.

- Niveau 2 : « Avertissement chaleur » - vigilance jaune. Cela correspond à des pics de chaleur limitée dans le temps, c’est le début d’une vigilance accrue car interprétée comme l’arrivée d’une canicule.

- Niveau 3 : « Alerte canicule » - vigilance orange. Les acteurs concernés se mobilisent, le préfet peut enclencher des dispositifs et le Premier Ministre peut être amené à activer la cellule interministérielle de crise (CIC).

- Niveau 4 : « Mobilisation maximale » vigilance rouge. il s’agit d’une « canicule avérée exceptionnelle, très intense et durable, avec apparition d’effets collatéraux dans différents secteurs ». ce niveau n’a jamais été mis en œuvre depuis l’instauration du plan.

Pour les niveaux 2 à 4 une vigilance particulière des services de santé au travail est nécessaire, en accompagnement de l'ensemble des dispositifs du niveau 1.

Lors des dernières canicules, les expériences révèlent les mesures mises en œuvre en priorité par les entreprises :

1 – L’aménagement des horaires et/ou postes de travail,

2 – L’aménagement de l’environnement de travail,

3 – La diminution de la charge physique des postes les plus pénibles,

4 – L’information des travailleurs.

L'intégralité des préconisations est consultable sur le site du Ministère de la santé et des affaires sociales.

jeudi 11 juillet 2013

La CFDT signe l’accord sur le CDI intérimaire

La négociation sur la sécurisation du parcours des intérimaires a abouti à un accord. Satisfaite qu’il reprenne ses propositions tournées vers l’emploi et  la déprécarisation des salariés intérimaires, la CFDT a annoncé sa signature.

« Objectifs remplis ». C’est ainsi que Gilles Desbordes, secrétaire général de la fédération CFDT des Services a commenté l’accord auquel a abouti la négociation sur la sécurisation des parcours professionnels des intérimaires, le 11 juillet.

La CFDT, la CFE-CGC et la CFTC ont décidé de signer le texte de Prism’emploi, le patronat de la branche, au regard des concessions faites par celui-ci à l’issue d’un véritable bras de fer. Après avoir tapé du point sur la table en intersyndicale (CFDT, CFE-CGC- CFTC), la CFDT avait menacé de ne pas signer le texte à l’issue d’un premier projet d’accord.

Cent millions d’euros pour déprécariser

Prism’emploi s’engage à conclure 20 000 CDI intérimaires dans les trois ans, soit 4% de la population totale des intérimaires (520 000 équivalents temps plein). L'accord crée par ailleurs un fond de sécurisation des parcours des intérimaires, destiné à financer les formations des intérimaires, ainsi que les intermissions des CDI.

« Avant, le fonds était une coquille vide, explique Gilles Desbordes. Grâce à notre action, il pèse cent millions d’euros. » Ce fonds sera alimenté pour partie par 10% du salaire des intérimaires en CDI, pour l’autre partie par une cotisation égale à 0,5% de la masse salariale – soit dix fois plus que la proposition initiale de Prism’emploi. Cette cotisation supplémentaire, fixée à ce taux pour une durée de trois ans, se veut la contrepartie à la non application dans la branche du renchérissement des contrats courts institué par l’accord du 11 janvier sur la sécurisation de l’emploi. Le texte prévoit par ailleurs d’augmenter la durée de travail des intérimaires travaillant plus de 800 heures par an de 40 heures d’ici 3 ans, ce qui représente environ 80 000 personnes.

« Cet accord touche directement 20 % de la population des intérimaires », souligne Gilles Desbordes, qui se félicite de concert avec le secrétaire national Patrick Pierron qu’« avec cet accord, le dialogue social apporte une fois de plus des solutions concrètes aux salariés face à la montée du chômage ».

lundi 8 juillet 2013

Comité de Groupe (27/06/2013)

Diffusion aux adhérents CFDT du compte rendu du Comité de Groupe du 27 juin 2013

vendredi 5 juillet 2013

Revue de presse (05/07/2013)

Obligation, stigmatisation, représentation, insertion et production...
Diffusion d'une revue de presse aux adhérents CFDT.


mercredi 3 juillet 2013

L’open-space nuit à la productivité

Bruit, clim, collègue qui louche par-dessus votre épaule… Pas toujours facile de se concentrer en open-space. Résultat : vous êtes moins efficace et du coup, moins productif. Une étude du cabinet d’architectes et de design américain Gensler vient le confirmer. Plus de 2 000 salariés américains ont été interrogés, dans le but de savoir à quoi ressemble l’espace de travail qui favorise le plus la performance.



Ce qu’il en ressort ? L’open-space n’est pas le mode de travail idéal. Trois salariés sur quatre s'estiment inefficaces dans un pays où la plupart travaillent en open-space. Le pire, c’est que selon cette étude, l’open-space va à l’encontre de ce pour quoi il a été conçu : la collaboration et le travail en équipe. Car sans capacité à se concentrer, on est moins à même de collaborer et encore moins enclin à apprendre ou à se socialiser…

On ne peut pas mettre tous les métiers en open-space

Pour Stéphanie Guemmi, ergologue et psychologue du travail interrogée par le site Atlantico, « le concept de l’open-space a été détourné au profit de l’économie des mètres carrés ». Selon elle, les bureaux actuels sont trop exigus. Cinq ou six mètres carrés par salariés, ce n’est pas suffisant. Il en faudrait une vingtaine pour que chacun trouve sa place. Elle estime en outre qu’« on ne peut pas mettre tous les métiers en open-space ».

L’étude commanditée par Gensler ne va pas jusque-là. Selon le cabinet d’architectes, il suffirait d'organiser différents espaces de travail. Ces derniers permettrait à chacun de travailler où bon lui semble : à son bureau dans l’open-space, mais aussi parfois dans un espace calme s’il a besoin de se concentrer. Pourtant, dans les sociétés qui ont mis en place de tels lieux, toujours selon la même étude, 70 % des salariés passent le plus clair de leur temps à leur poste… La culture d'entreprise américaine n'est pas sortie de l'affaire (de l'open-space).

Elodie Buzaud @ Cadremploi.fr

“La question des retraites n'est pas qu'une question d'équilibre, c'est aussi une question de choix de société”

Invité du Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro, le 30 juin 2013, Laurent Berger a fait point sur les grands sujets de l'actualité sociale du moment : la réforme des retraites, l'emploi et la situation des fonctions publiques.


Laurent Berger invité du Grand Jury du 30 juin... par rtl-fr

mardi 2 juillet 2013

Commission de suivi de l'accord Groupe DIVERSITÉ (24/06/2013)

Diffusion aux adhérents CFDT du compte rendu CFDT de la commission de suivi de l'accord DIVERSITÉ.

lundi 1 juillet 2013

Le baromètre prospectif 2013 (OEMA)


Diffusion aux adhérents CFDT de la synthèse du baromètre annuel de l'observatoire des métiers de l'assurance.