jeudi 27 décembre 2012
lundi 24 décembre 2012
Joyeux Noël !
La CFDT GCA vous souhaite un très joyeux noël en famille !
Même pour ceux qui ont été très ... Méchants !!!
samedi 22 décembre 2012
La CFDT, deuxième organisation syndicale dans les TPE
La première élection dans les entreprises de moins de 11 salariés s’est terminée le 21 décembre. Plus de 4,6 millions de salariés été appelés à voter. La CFDT recueille 19,26 % des suffrages exprimés et affirme sa place de seconde organisation syndicale dans les TPE.
« Le vote sur sigle voulu par la précédente majorité, décourage la participation et favorise une multiplication et un éparpillement des candidatures avec pour conséquence que les salariés n’élisaient personne, regrette Marie-Andrée Seguin, secrétaire nationale chargée des petites entreprises, avant d’ajouter que « compte tenu de ce mode de scrutin, 460 000 salariés se sont tout de même exprimés dans cette élection, soit seulement 10 % de participation. »
« La CFDT attend maintenant que toutes les leçons soient tirées de la trop faible participation – prévisible – à cette élection. » Elle revendique la mise en place de structures de dialogue social territorial, dans lesquelles doivent siéger des salariés des TPE élus par leurs collègues de travail.
Quoi qu’il en soit, assure Marie-Andrée, « ce résultat est le fruit d’un long travail en direction de salariés d’entreprises dépourvues de représentation syndicale, où le dialogue social reste à construire et où les inégalités en matière de droits sont les plus fortes. La campagne de proximité menée par les militants de la CFDT a fait naître des attentes, que nous nous devons de ne pas les décevoir ! »
dimanche 16 décembre 2012
Grève à GCA le 21 décembre
Zéro !
Zéro ! C’est le dernier mot de notre DG et le taux d’augmentation collectif pour tous les salariés de notre entreprise, GCA.
La faute à la crise… MAIS, pourquoi les autres Caisses Régionales, elles aussi confrontées aux difficultés du Groupe, réussissent-elles à négocier une revalorisation des salaires ?
Zéro pour récompenser la course effrénée à la productivité et l’investissement des salariés confrontés à des sociétaires et clients inquiets par ce qu’ils lisent dans la presse, par ce qu’ils entendent à la radio !
Zéro pour reconnaître le travail réalisé pour payer les égarements mégalomaniaques de la Direction Générale validés par les Administrateurs !
ZÉRO SALAIRE
A ce mépris envers les salariés, s’ajoutent :
- Une dégradation continue des conditions de travail.
- Un projet flou de réorganisation du technique et du commercial au 1er janvier 2013, sans éléments précis sur les flux d’activités entre les différents services concernés et l’impact sur l’emploi.
- Une gouvernance qui manque de sérénité, des décisions prises et qui ne sont pas suivies d’effet, des ordres contradictoires, une impression que chacun tire à hue et à dia et que personne ne dirige l’entreprise
- Un manque de visibilité du devenir de notre entreprise, de l’évolution des sites et des différents services, des différentes directions qui travaillent chacune de leur côté dans le cadre d’un mode d’organisation hyper cloisonnée.
- Un manque de concertation, des projets mis en places avant que les Instances Représentatives du Personnel soient réellement informées (GED, etc.)
!!! Nous devons montrer notre mécontentement !!!
Nous exigeons que notre pouvoir d’achat soit maintenu par une hausse de nos salaires, que les conditions de travail s’améliorent, que les salariés soient respectés.
L'ensemble des organisations syndicales appellent tous les salariés de G.C.A, à cesser le travail et leur donnent rendez-vous le jour du Conseil d’Administration le 21 décembre à partir de 9h jusqu'à 12h, sur les sites d’ Agen, Bordeaux, Châteauroux, Limoges, Niort, Périgueux.
vendredi 14 décembre 2012
mercredi 12 décembre 2012
Il est interdit d'interdire de trinquer au bureau
Evidemment, l’information est à consommer avec modération. Comme les verres qu’elle autorise de nouveau à boire au bureau. Car les sages du Conseil d’Etat viennent de juger* qu’une interdiction générale et absolue de boire de l’alcool sur le lieu de travail est infondée, en l'absence d'une situation particulière de danger ou de risque. Pas moins. Cette jurisprudence Caterpillar va donc déranger les nombreuses entreprises qui comptaient transformer les pots de fins d’année en anniv’ Champomy.
Ainsi Caterpillar France, le fabricant d’engins de chantier – mais aussi de croquenots –, avait purement et simplement prohibé toute consommation alcoolisée dans ses locaux et l’avait gravé dans le marbre de son règlement intérieur. Pas possible, lui a répondu le Conseil. Encadrer la consommation « à des fins de sécurité du travail » pourquoi pas ? Mais « poser un principe d’interdiction totale », certainement pas. Autant il est logique de ne pas autoriser un conducteur de pelle hydraulique de 35 tonnes à trinquer avant d’y grimper, autant il n’est pas possible de ne servir que des menthes à l’eau à la cantine pour les employés administratifs.
L’interdiction d’une interdiction qui va peut-être freiner l’éclosion d’un phénomène : l’afterwork. Le pot entre collègues, l’apéro d’après-boulot mais à l’extérieur du boulot qui, selon lemonde.fr serait furieusement tendance. De Dunkerque à Perpignan, ou de Nation à Etoile seulement ? Car ce que le site du journal du soir décrit, les retrouvailles entre collègues au bar du coin ou au lounge pas loin, ne concerne que quelques entreprises très parisiennes et quelques cadres tout aussi parisiens. Tenter de se retrouver après le boulot, quand on travaille au fond d’une banlieue, dans la ZI de Saint-Ouen-l’Aumône, ou de Tremblay-en-France, est un poil plus compliqué qu’autour de la bibliothèque François Mitterrand, ou dans le quartier de l’Opéra.
Pas par mauvaise volonté affichée, mais par manque de bistrot lounge avéré. En sortant de leur bureau, les collègues pourront toujours faire quelques kilomètres de bouchons en voiture, traverser quelques échangeurs, pour aller échanger quelques impressions sur les futurs projets de la boite ou le dernier but de Zlatan. Mais pour se retrouver ils devront choisir entre un fast-food et un resto-grill d’autoroute. Moyennement motivant. Pour eux, comme pour nombre de salariés d’entreprises en région, eux aussi excentrés des centres villes festifs, la décision du Conseil d’Etat apparaît comme une bouffée d’air frais en leur permettant de faire à nouveau des apéros pro. Avec modération comme il se doit. Si ça se trouve, les sages de la plus haute juridiction administrative française sont allés en discuter au zinc du quartier.
www.cadremploi.fr
Comité de Groupe (07/12/2012)
Situation de Groupama Banque, réforme bancaire, avenir d'AMAGUIZ, dépréciation des titres GSA, Covéa, évolutions des effectifs sur les Caisses régionales...
Diffusion aux adhérents CFDT du compte rendu du Comité de Groupe du 7 décembre dernier
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